Nous voulions l’Aventure, . . . Nous l’avons.
Partis a trois de Toulouse, avec deux heures de retard sur l’horaire prevus, nous poireautámes allegrement a Madrid . . .Notre correspondance pour Buenos Aires survolant deja l’Atlantique.
Systheme D, plus patience et . . . Philippe et moi sommes diriges sur Rome pour prendre le vol de 22 h pour BA et Aimery, ratant d’une minute notre avion, se retrouve oriente sur Santiago du Chili, puis BA avec air Canada . . .
Rome, ville eternelle. Là, dilemme, plus qu’une place à bord ¡ A la courte paille, nous dècidámes que le plus jeune prendrai la place et me voilà seul à bord pour le grand saut. . .
Quelques treizes heures plus tard, à 8 heures locale, je fús le premier des trois à fouler le sol du continent Sud Amèricain, sans mes bagages qui arriveront le lendemain avec le vol de Philippe . . . Plus n’importe quoi, tu meurs.
Aimery me rejoint à seize heures, frais comme un gardon car il a pu dormir tout du long.
Royal Enfield Argentina nous a dèpèche un chauffeur, Mariano, pour nous conduire à Laboulaye, à six cents kilomètres de BA.
Nous sommes en Argentine et, celà se voit aux vèhicules heteroclites ainsi qu’a la qualite de la route . . .
Après une bonne nuit, nous voilà acceuillis, et le mot est faible par Maria et Jorges, les importateurs de Royal Enfield.
Mais, je ne vous ai pas dit . . . que nos pieces spèciales et outils sont coinces à la Douane de BA . . . , c’est fait.
Après negociations, intervention d’un douanier motard, et cinq cents (oui, cinq cents) euros de bakchich, Philippe les recupère et peut enfin nous rejoindre. . . Nous sommes bien en Argentine.
Ce soir, un asado geant nous attend, oui, nous sommes bien en Argentine.
Je vous transmettrai quelques images faites cà et là, sans legende, le temps de recuperer le cable qui est dans mes bagages . . .
Adios
Thierry